Le comité

• L’indépendance. Les membres du CCNE sont choisis non pas en raison de leur appartenance à une institution mais en raison de leurs compétences ou de leur intérêt pour les questions éthiques.
• La diversité. La richesse de la réflexion du CCNE tient à la diversité de ses membres : médecins, scientifiques de différentes disciplines, juristes, philosophes, personnalités du monde social, politique, des principales familles philosophiques et religieuses … Tous concourent à nourrir un dialogue pluriel et ouvert sur le monde.
• La transparence et le dialogue. Nous produisons différents types de documents  qui tous sont accessibles sur notre site web. Ils servent à nourrir le dialogue continu que le CCNE entretient avec les responsables politiques, la société civile et les médias.
• Le partenariat. La réflexion éthique est une « matière vivante » qui se construit avec d’autres expertises, d’autres regards. Nous rencontrons fréquemment les comités d’éthique français et internationaux. Nous avons engagé avec les Espaces de réflexion éthique régionaux et la CNERER un lien privilégié qui enrichit nos réflexions respectives et se traduit sur le terrain par des débats citoyens
• L’ouverture. Nous accueillons le Comité national pilote d’éthique du numérique depuis 2019 dont le rôle est d’aborder les enjeux éthiques du numérique et de l’intelligence artificielle. Les interactions avec le CCNE sont formalisées par la présence de certains de ses membres au sein du CNPEN, témoignant de l’intérêt du CCNE pour ces technologies.
• L’adaptabilité. Nous revendiquons de prendre un « juste temps » pour mener nos travaux. Nous savons également nous mobiliser rapidement pour répondre à des questions urgentes, comme pendant la crise pandémique sur le Covid-19.

C’est sur ces principes que nous construisons une relation de confiance avec les autorités, nos partenaires et la société civile.